Un 500ème chef à La Belle Assiette
Et si votre appartement se transformait le temps d’un soir en restaurant gastronomique ? Un peu comme la citrouille de Cendrillon se métamorphose en carosse, pendant quelques heures de pur plaisir.
Avec La Belle Assiette, c’est possible. La start-up créée en mars 2013 propose l’intervention de Chefs de cuisine à domicile, pour une soirée prestigieuse mais pas prétentieuse. J’ai eu le plaisir de « tester » des prestations de Chefs à deux reprises : Nerwin Guzman et Diana Gran.
Pour moi, La Belle Assiette fait partie de la famille des start-ups « bon plan ». Non pas tant d’un point de vue économique car j’ai repéré de grosses sommes sur le site, mais plutôt dans la recherche d’expérience sans sortir de chez soi. C’est une façon de rendre accessible un service comme la prestation d’un chef de cuisine, à tous.
Sans être réductrice, un chef La Belle Assiette est à un dîner ce qu’un plat « ready to cook » est à la cuisine : on a besoin d’y mettre du sien pour profiter pleinement de la prestation ou du produit.
Alors, faut-il obligatoirement avoir un grand appartement pour accueillir un chef ? Pas forcément, la force de ces chefs « volants » est une parfaite adaptation à sa clientèle, non seulement d’un point de vue logistique, mais également au niveau des préférences alimentaires. D’ailleurs, chaque chef a sa spécificité, sa spécialité. C’est pourquoi sur le site de La Belle Assiette il est possible de choisir le chef dont la cuisine correspond le mieux à nos attentes.
Et sur La Belle Assiette, il y a du choix ! D’ailleurs, la société a le plaisir d’accueillir son 500ème chef, qui est plus précisément une femme : Stéphanie Belmonte (le 49ème chef doit avoir la rage de louper la médiatisation de son nom à une place près !). Plus sérieusement, La Belle Assiette est tout de même passé de 230 à 500 Chefs en un an seulement : félicitations !
Dernière bonne nouvelle : la start-up qui se compose aujourd’hui d’une dizaine de salariés heureux cherche à doubler son effectif très prochainement. Si j’étais en recherche d’emploi (ce qui n’est plus pas le cas), je tenterais certainement de postuler en rédigeant mon CV sous forme d’un Menu ..!
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20 octobre 2017 at 11 h 19 min
Article très intéressant !!